Course autour du monde d'un gentleman anglais, Phileas Fogg, qui a fait le pari d'y parvenir en 80 jours. Il est accompagné par Jean Passepartout, son serviteur français. L'ensemble du roman est un habile mélange entre récit de voyage (traditionnel pour Jules Verne) et données scientifiques comme celle utilisée pour le rebondissement de la chute du roman.
Ce voyage extraordinaire est rendu possible grâce à la révolution des transports qui marque le XIXe siècle et les débuts de la révolution industrielle. L'apparition de nouveaux modes de transport (chemin de fer, marine à vapeur) et l'ouverture du canal de Suez en 1869 raccourcissent les distances, ou du moins le temps nécessaire pour les parcourir.
- ajouté par Pirou -
C'est un voyage agréable.
Le récit est efficace, simple, plein d'humour et de surprises (jusqu'à la fin).
Il est dommage que Monsieur VERNE ne se soit pas plus étendu sur les mœurs des différents pays traversés.
Un classique plaisant à relire.