Jason Bourne prit la clé fixée par une bande adhésive au plafond du placard, l'inséra dans la serrure et ouvrit le petit coffre. Dedans il y avait deux automatiques démontés, quatre cordes de piano soudées à des poignées qu'il pouvait dissimuler dans ses paumes, trois passeports valides sous trois noms différents, et six charges de plastic capables de faire sauter des pièces entières. Il se servirait de tout. Jason Bourne allait devenir le terroriste que jamais personne n'avait osé imaginer dans le pire de ses cauchemars.
- ajouté par Pirou -
Quand on a goûté au premier volet, on pourrait craindre un essoufflement... mais non, tout y est et avec talent.
Suite de "la mémoire dans la peau".
Grand moment que ce retour en Asie pour David Webb/Jason Bourne.
Le rythme est plus effréné que jamais, les retournements de situation grandioses. On plonge dans le passé d'assassin de Bourne.