Londres, été 1858. Une canicule sans précédent écrase la ville. La tamise, dont le débit se réduit dramatiquement, ne parvient plus à évacuer l'abondance de rejets des trop nombreux habitants. En résulte ce que les Londoniens ont nommé "The great Stink", une odeur épouvantable envahit toute la ville. Nombre de métiers de circonstance trouvent leur origine dans cet épisode peu reluisant.La morale décadente, aussi nauséabonde que l'atmosphère, engendre de son côté des activités délétères.Comme dans tous les épisodes sombres de l'histoire, de cette fange immonde naîtront aussi des monstres.
- ajouté par Mimosa -
Un livre qui m’a donnée du fil à retordre je l’avoue !
J’ai mis 3 semaines à lire 80 pages. J’étais pas dedans, je trouvais que ça n’avançait pas, je cherchais le bout du tunnel. Peut-être un problème de style, je ne sais pas.
J’ai failli abandonner plusieurs fois…
Mais bon, c’est du Cetro merde ! Et au vu des nombreux commentaires positifs, j’ai persévéré. Un lecteur disait que la 2eme partie était beaucoup mieux, ceci m’a confortée dans l’idée de ne pas abandonner. Et puis, quoi, c’est du Cetro quand même !! Ce magicien des mots ne pouvait pas me laisser comme ça !
La révélation s’est faite au bout de 100 pages pour ma part. Enfin l’histoire allait quelque part, et enfin j’ai pu dévorer, apprécier et retrouver la plume de l’auteur que j’apprécie tant.
Au final, gros travail de cherches sur le Londres des années 1800, mêlant fiction et réalité. Un livre unique en son genre.
L’auteur met en avant les sentiments comme l’amitié, l’amour, qu’il soit fraternel, parental ou filial, la haine, la vengeance, bref un bon panel d’émotions raconté à la Cetro donc divinement bien !
Un roman d'un autre temps dans le Londres de la fin des années 1800 où il règne un climat très particulier. Le règne des débrouillards où nous suivons deux adolescents amis, frères d'égouts, des "ratcatchers" dans ce Londres où la puanteur sévit. Un livre relatant faits divers rééls et personnages fictifs, l'écriture est magnifique. A découvrir.