3.00
Tour de sélénite (la)
2015

Adel Blanchard est un écrivain en perdition. Depuis quelques mois, sa vie ne se résume qu’à éviter les huissiers et à courir après son ex-femme pour voir ses deux enfants. Pour sortir la tête de l’eau, il accepte un poste de professeur de Lettres dans une faculté de Lille mais peu à peu, il ne peut s'empêcher de glisser dans la dépression. Un soir, alors qu’il est prêt à commettre l’irréparable, sa voisine de palier intervient miraculeusement et l’en empêche. Il voit en elle l’opportunité de démarrer un nouveau chapitre de sa vie, c’est donc naturellement qu’il participe au projet universitaire qu’elle organise avec un collègue : la restauration d’un phare en Loire-Atlantique.
Malheureusement, il ne se doute pas que ce périple le mènera au cœur de la terreur où il y laissera une partie de son âme.

- ajouté par Gnothi -

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Mimosa 
le 17/02/2021

Le décor original m'a donné l'eau à la bouche un vieux phare à l'abandon c'est lugubre et mystérieux. Mais j'ai été déçue. L'histoire ne m'a pas convaincue, beaucoup d'incohérences, je me suis ennuyée et j'avais hâte d'en finir avec ces zombis qui ne m'ont pas fait frémir.

Gnothi 
le 04/11/2020

Et de 2 !
Après avoir lu « Parasite », je devais lire « la tour de Sélénite » et une fois de plus je ne suis pas déçue !
Je découperais ce livre, du genre « horreur/thriller » en 3 parties :
Une 1ere partie où l’auteur plante le décor, c’est gentil, ça part comme un thriller mais nous, on se frotte les mains parce qu’on sait que ça va bien bien (oui 2 fois) partir en cacahuete !!
Une seconde partie, ma préférée, héhéhé… Mention spéciale pour le lieu : un phare abandonné, sur une île à quelques kms des côtes, on ne pouvait rêver mieux comme endroit non ? Moi j’adore ! (ça change d’une cabane abandonnées au fin fond d’une forêt…)
Une écriture très cinématographique, idéale pour s’imaginer dans ce cadre, angoissant à souhait… je revois encore la scène de la poupée de porcelaine…
J’ai dévoré cette histoire en 3 jours !! Ce qui est exceptionnel pour moi…
Un petit hic : les personnages crient, hurlent à toutes les pages c’est un peu redondant (et vomissent leurs tripes aussi… et se pissent dessus également, ha ben vi elles ont peurs….), quelques incohérences parfois, mais ne pas oublier que c’est le 1er roman de l’auteur donc on lui pardonne.
La 3eme partie ou le dénouement : celle que j’ai le moins aimée. Forcément, avec une histoire comme ça, l’auteur aura eu du mal à se dépêtrer de ses idées farfelues…
Tout ceci m’a ouvert l’appétit pour le 3eme bébé d’Arnaud : « 1974 » (qui est d’ailleurs le 2eme en fait), s’il est dans la lignée des 2 autres, ça devrait me plaire !