Un étrange phénomène se propage dans la capitale française et sa banlieue, transformant la majorité de la population en monstres avides de chair humaine. Pour une raison inconnue, certains survivants ne présentent aucun symptôme.
L'épidémie est vécue à travers les yeux de femmes et d'hommes que rien ne prédestinait à se rencontrer.
Mathieu, Natacha et Louis vont se croiser d'une manière bien singulière. Se croyant bien à l'abri, ils apprendront que les hordes de morts-vivants qui sillonnent les rues sont loin d'être leur seul problème.
Malgré eux, ils vont s'immerger jusqu'aux origines du mal.
Le Début de la Faim est également le récit d'une histoire d'amour déguisée en roman apocalyptique.
- ajouté par Gnothi -
Les zombies, les morts-vivants c'est pas vraiment ma tasse de thé, ni au ciné, ni à la télé et encore moins en livres. Pas de peur, ni de fantasmes, ça ne me fait ni chaud ni froid !!
Ici, l'histoire se tient malgré tous ces morts au fil des pages (qui ressuscitent en plus !!) je ne vais pas dire que j'ai aimé mais disons que ce n'était pas "trop pire"...
Mon baptême de livre de zombies.
Et pour moi, les histoires de zombies c'était avant tout des morts vivants qui bouffaient des vivants. Oui, mais en fait, pas que...
Mathieu, Adèle et Nelly, Natacha, Bernard et Louis, ont bien du souci à se faire. Tandis que Théo et ses potes Bouli et Flip, sont dans de beaux draps !
La première partie est consacrée à l'invasion des morts-vivants : je n'ai pas compté le nombre impressionnant de cervelles explosées !! Avec beaucoup d'hémoglobine. (mais naan c'est du ketchup)
Et, par la même occasion, une présentation de tous les personnages chapitre après chapitre.
Un peu de répit dans la deuxième partie avec le refuge dans un hôpital psychiatrique pour les rescapés de ce grand carnage carnivore cannibale.
L'humour est au rendez-vous à toutes les pages et malgré son humour un peu lourdingue, j'ai bien aimé notre ami Louis.
L'auteur a su faire évoluer l'histoire et ses personnages, dans la troisième partie du livre, ce qui ne doit pas être facile dans cette catégorie "zombique" et a même eu le culot de faire une suite mais ça tombe bien puisqu'on en redemande !
J'adore le titre (j'aurais pas trouvé mieux), la couverture colle très bien au récit et cette phrase résume à elle seule l'ambiance du livre :
"C'est la fin du monde ! On va tous y rester et crever dans d'atroces souffrances et... une bombe atomique me kiffe ?! La vie est vraiment fantastique !"